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L’holopsonie est une méthode thérapeutique crée par Dominique Bourdin.
Pour guérir, on écoute de la musique !
A la suite d’un test auditif, la musique que l’on écoute est modifiée et filtrée à des fréquences précises et adaptées à chaque individu.
Voici l’interview de Dominique Bourdin, que j’ai réalisé le 17 Mai 2013 à La Chrysalide, sur le thème de l’holopsonie.
Pour l’écouter, c’est ici : l’holopsonie 1
Voici le texte retranscrit de l’interview :
Anthony Doux : Bonjour Dominique Bourdin.
Dominique Bourdin : Bonjour Anthony.
Anthony Doux : Vous allez nous parler d’une technique thérapeutique très efficace où la musique est un outil important pour aller vers un mieux être.
Dominique, vous êtes médecin, homéopathe, acupuncteur, de formation. Et en 2011 vous avez créé un centre de bien être en Vendée « La Chrysalide ». C’est bien ça?
Dominique Bourdin : C’est ça.
Anthony Doux : Comment passe-t-on de « médecin généraliste » à « créer un centre de bien être »?
Dominique Bourdin : J’ai passé toutes mes premières années à essayer de guérir les gens pour m’apercevoir qu’en fait, on n’était pas fait pour être malade et qu’on pouvait intervenir en amont, faire vraiment de la prévention. En jouant sur les ressources des personnes, on s’aperçoit qu’elles peuvent se faire du bien et éviter de tomber dans la maladie. C’est pour ça que délibérément nous avons choisi de travailler en amont de la maladie. On peut recevoir des gens qui sont malades mais on va les prendre comme des bien portant potentiel et non comme des malades. Alors que finalement jusque là, comme médecin (enfin jusqu’à il y a quelques années parce ca fait déjà pas mal de temps que j’ai changé) on prend plutôt les bien portant comme des malades potentiel.
Et aujourd’hui, les personnes viennent nous voir parce qu’elles ont envies simplement de se faire du bien, elles ont envie d’aller mieux. Elles ont envi de se faciliter des passages un peu difficile comme des fins de vie professionnel, un changement matrimonial, des enfants qui s’en vont, des choses quelques fois un peu difficile à passer. Donc, on a des personnes qui viennent simplement pour qu’on les aide à passer ces caps et puis on a des gens qui souffrent de choses assez grave. Et on s’aperçoit qu’avec les techniques que nous utilisons, qui sont assez particulières mais qui sont en même temps assez simple, en jouant sur les ressources de ces personnes, elles sont capables de faire quelques fois des miracles…
Anthony Doux : Alors justement quelles sont ces techniques que vous utilisez?
Dominique Bourdin : Les gens peuvent venir faire juste un spa, un massage de bien être de base que l’on trouve dans les autres centres de thalasso ou centres de bien être.
Mais notre spécialité c’est de les recevoir sur des journées complètes, voir plutôt trois jours, ou quatre jours ou cinq jours, pendant lesquels on met en synergie plusieurs techniques thérapeutiques qui permet de jouer sur tous les plans.
Ces techniques sont :
– L’irrigation colonique, nettoyage du colon ou hydrothérapie du colon, où non seulement on fait de l’hygiène, mais en plus on leur propose de faire de 4 à 6 séances à raison d’une à deux par jour. On s’aperçoit qu’on nettoie l’ensemble du corps très en profondeur. Ca se voit sur la peau. Ce qui se voit sur la peau est le reflet de ce qu’il se passe à l’intérieur, du coup ça permet de nettoyer le cerveau, de régénérer l’ensemble des organes et en même temps de redonner à l’intestin ses capacités de digestion et d’immunité.
Ca c’est une des techniques, l’irrigation colonique.
– Ensuite on a la musique modifiée, l’holopsonie, dont on doit parler dans un instant.
– La chromothérapie, c’est aussi l’objet de nos propres recherches. C’est deux techniques, musique et couleur, sont issues de nos propres recherches.
– On utilise les champs magnétiques pulsés.
– On utilise les massages. J’ai développé une approche en massage qui est originale puisqu’on associe le thaïlandais et le taôiste, c’est à dire un massage dynamique qui fait beaucoup de pressions et de tractions, à un massage plus doux et relaxant et avec un coté sensuel pour retrouver l’unité du corps, du cœur, et de l’esprit.
Ce sont deux massages énergétiques puisqu’ils suivent les trajets des méridiens, on les associe aux couleurs ce qui fait tout un ensemble, une expérience intéressante à vivre.
– Il y a bien sur tout le travail avec l’eau, et avec les couleurs aussi dans le spa : sauna infrarouge, hammam, sauna finlandais, bassins avec différents jets et tout ça avec des couleurs, des jets chauds, des jets froids.
C’est tout un ensemble où en quelques jours on voit la tête des gens qui changent. Pratiquement si on prends une photo avant et après, on s’aperçoit qu’ils rajeunissent de 10 ans.
Anthony Doux : On va parler spécifiquement de l’holopsonie, de cette technique où la musique est utilisée pour le bien être, pour un mieux être.
Alors qu’est ce que l’holopsonie?
Dominique Bourdin : L’holopsonie, ca vient du grec « holos », ca traite la globalité, « psy » parce que ça traite la dimension psychologique de tous les problèmes et « sonie » pour les sons. C’est une des formes de ce qu’on appelle la « psycho -phono –logie », c’est ce qu’a fait Tomatis, c’est ce qu’a fait Bérard. L’holopsonie s’est inspirée des travaux du Dr Bérard, qui était un contemporain de Tomatis, qui avait fait un travail vraiment intéressant; il était assez âgé, il n’a pas voulu évoluer, mais à son âge ça se comprend aussi très bien. Je me suis équipé avec son matériel au démarrage, j’ai repris ce travail là parce qu’il avait des résultats déjà assez satisfaisants.
C’est une méthode finalement assez simple puisque elle consiste à faire un test d’écoute, c’est à dire à regarder le seuil d’audition des personnes, oreille par oreille, fréquence par fréquence.
Le spécialiste ORL, quand il fait ça, il va repérer des pathologies de l’oreille, des maladies de l’oreille, des surdités à cause du vieillissement, d’expositions au bruit, des troubles circulatoires, des otites à répétitions…
Nous ce n’est pas ce qui nous intéresse. Ce que nous voyons se superpose à ces problèmes là, mais ce qui nous intéresse c’est surtout que chez n’importe quelle personne, qu’elle entende bien ou moyennement bien, on va toujours trouver des pics d’hypersensibilité à certaines fréquences et des creux d’hypo sensibilité à d’autres fréquences. Et ces pics et ces creux correspondent à une partie du corps dans son expression symbolique.
Par exemple :
Vous avez tendance à faire des problèmes de gorges, parce que vous avez du mal à vous exprimer, ça peut se traduire de temps en temps par des angines ou par une extinction de voie, une fragilité…
Si on fait un test d’écoute à ce moment là, on va trouver un pic ou un creux sur 4000 Hz qui est la fréquence de la gorge.
Vous avez des problèmes d’estomac, une tension, un nœud à l’estomac qui peut aller jusqu’à l’ulcère, voir pourquoi pas à un cancer de l’estomac : la symbolique de l’estomac est souvent lié à la relation à la nourriture et à la mère nourricière, la peur de manquer de l’essentiel.
Si on fait un test d’écoute à quelqu’un qui a un problème à l’estomac, on va trouver un pic ou un creux à 2000Hz. Il va entendre trop bien ou moins bien le 2000 Hz par rapport aux fréquences d’à coté.
Si il y a un problème d’ovaire ou d’utérus qui peut être en lien avec la sexualité ou avec la maternité, on va trouver un pic ou un creux à 1000Hz.
Une entorse du genou va donner un pic ou un creux à 500 Hz.
Ca c’est la base qui va nous permettre de valider, ce que l’on verra peut être dans un instant, le fonctionnement hologramique du corps puisque ces tests d’écoutes permettent de démontrer que l’ensemble du corps est représenté dans l’oreille interne. Au sens scientifique contemporain du terme, c’est une démonstration, puisque c’est une mesure objective.
Si c’est vrai pour l’oreille, on peut largement extrapoler sur d’autres techniques :
C’est vrai pour l’œil, ça donne l’iridologie.
C’est vrai pour les cheveux, ca donne la coiffure énergétique.
C’est vrai pour les dents, ca donne la dentisterie énergétique.
C’est vrai pour l’acupuncture qui travaille sur la peau et les méridiens.
C’est vrai pour les pieds avec les massages réflexes. Etc.
Ca valide du même coup d’autres techniques thérapeutiques qui prétendent aborder l’ensemble du corps à partir d’un morceau.
Ca c’est un premier point qui est intéressant, l’autre point c’est que le traitement qui consiste à faire écouter de la musique.
C’est là où on vient sur le vif du sujet.
Cette musique, c’est une musique qu’on choisit parmi une gamme de cd à bande passante assez large et avec une bonne dynamique, qui ne soit pas de la hard musique, que ça soit de la musique harmonieuse.
Cette musique on va la découper en tiers d’octave, grâce à l’électronique et à l’informatique.
On va pouvoir filtrer les tiers d’octave correspondant aux pics d’hypersensibilité et on va augmenter les tiers d’octave correspondant au creux d’hypo-sensibilité.
On rajoute un système de bascule grave/aigu, c’est à dire que les personnes n’entendent que les graves ou les aigus de façon aléatoire, irrégulière, sur les deux oreilles séparément.
La sensation c’est comme un coup de torchon dans les oreilles et en quelques séances on arrive à effacer ces pics et ces creux.
Et là c’est comme si on détricotait les nœuds que les gens se sont tricotés; par exemple la tension dans la gorge s’il y avait un pic à 4000 Hertz, le nœud à l’estomac s’il y avait un pic à 2000 hertz. Etc.
Et cerise sur le gâteau, c’est que souvent on observe à ce moment là, si ce n’est pas déjà présent, une remonté à la conscience de souvenirs des événements mal vécus, symbolisés par l’organe qui souffrait, sur lequel on avait trouver un pic ou un creux sur le test d’écoute et qui s’est effacé avec les séances de musique. Et là ça va jouer sur toute la composante psychologique des problèmes, y compris les problèmes physiques.
Anthony Doux : D’accord, c’est assez incroyable! En fait, à une fréquence donnée correspond un endroit du corps, auquel correspond un problème physique, un problème émotionnel, un problème mental. Par exemple si on a un pic à 2000Hz ou si on a un creux à 2000 Hz, quelle est la différence entre le pic et le creux?
Dominique Bourdin : Il semblerait, mais j’ai absolument aucune certitude, que quand il y a un pic c’est plutôt genre blocage et excès d’énergie à cet endroit là, et quand c’est un creux, c’est un vide d’énergie. Mais alors ça, c’est très difficile à démontrer et j’ai envi de dire, on s’en moque.
Parce que nous, c’est pas le diagnostique qui nous intéresse, mais le résultat.
Et même l’interprétation des courbes, qui en général, parle bien aux gens, parce qu’ils se rendent bien compte que des niveaux du corps sont perturbés. Cette interprétation, c’est même pas ça qui est essentiel, ce qui est essentiel c’est ce qu’il ressort quand on fait écouter de la musique. Parce que c’est ça qui peut être travaillé sur le moment.
Anthony Doux : En tant que musicien, il est assez facile de jouer à certaines fréquences, mais du coup c’est plus difficile de les enlever. On peut créer, on peut jouer des morceaux…
Dominique Bourdin : Ca peut être intéressant de créer des morceaux de musique à dominante de certaines fréquences.
A la limite on pourrait même avoir un bruit blanc pour balayer toutes les fréquences, mais ça, on n’a pas encore essayé…J’ai le bruit blanc, mais je n’ai pas encore essayé le traitement comme ça.
Les résultats, on va les avoir sur différents problèmes :
Ca va faire une dynamisation du cerveau, ça va augmenter les capacités de concentration, d’imagination et de créativité.
Le cerveau cherche à recréer la musique originelle, donc il va travailler, il va se créer des nouveaux circuits. Et là on a des résultats d’amélioration scolaire tout à fait important. Et puis pour les personnes d’un certain âge, ça leur remet en route les fonctionnements du cerveau. C’est déjà une première chose. Ce n’était pas fait pour ça, mais on s’est aperçu que ça fonctionnait.
Ca va donner des résultats tout à fait intéressant aussi dans l’apprentissage des langues puisque l’apprentissage des langues est lié à l’oreille. On reproduit les sons qu’on entend bien.
Il faut savoir que la langue française est une langue qui a une bande passante étroite par rapport au russe ou à l’anglais ou à d’autres langues. Et donc le français qui est habitué à entendre des fréquences sur une faible bande passante a du mal à apprendre les autres langues. Donc là, on lui ouvre l’oreille et du coup ça facilite l’apprentissage. Alors ça, j’ai envi de dire c’est les effets secondaires qui n’étaient pas prévus au départ de ce travail là.
On va avoir des améliorations : des troubles du sommeil, des tendances dépressives, des allergies, puisque dans les allergies il y a pratiquement toujours une composante psychologique, des enfants qui ont des problèmes de comportements, qui ont des problèmes de scolarité à cause de problèmes de comportements par exemple.
On va avoir des résultats sur des problèmes physiques qui sont liés aussi particulièrement à des problèmes psychologiques.
Je me souviens d’une expérience sur deux sciatiques qu’une opération n’avait pas réussi à traiter, que je n’arrivais pas à traiter avec l’acupuncture et les couleurs. On a fait un test d’écoute, on a fait quelques séances de musiques et les deux personnes dans la même période ont vu leurs sciatiques se résorber.
En creusant un peu, on s’aperçoit que c’est des problèmes symbolisés par l’organe qui souffre. La sciatique c’est souvent « j’en ai plein le dos » ou c’est lié à la relation de couple. Pour ces deux personnes là, je ne me souviens plus;
Anthony Doux : Vous avez d’autres anecdotes et bienfaits liés à l’holopsonie?
Dominique Bourdin : Pour le sommeil par exemple, je me souviens d’un monsieur qui était venu pour ça, spécifiquement pour ça. On faisait à l’époque 20 séances à raison de deux par jours, avec un test de contrôle au milieu. Il avait commencer sa cure, il vient un vendredi matin, et puis il ne vient pas le vendredi après midi, il ne vient pas le samedi, il ne vient pas le lundi matin, on se dit « quand même il exagère, il aurait pu nous prévenir », il vient le lundi après midi en s’excusant, il dit : « je viens de me réveiller ».
Et ses problèmes de sommeil étaient réglés, c’était terminé.
Anthony Doux : Il avait récupéré des années de sommeil…
Dominique Bourdin : On peut avoir des réactions étonnantes puisque je me souviens d’un jeune qui avait des problèmes aux intestins, il avait fait tous les examens possibles et imaginables à l’hôpital, traitements par médicaments, rien n’y faisait.
On s’est dit, on va faire un traitement avec la musique. Test d’écoute : je ne sais plus ce qu’on a trouvé comme pics, mais surement quelque chose sur le 1200 ou le 1500 hertz, puisque ça correspond à l’intestin; Il a fait quelques séances de musique. Et là il a fait un œdème de Quincke, c’est à dire une réaction allergique très violente avec le cou qui a gonflé, qui aurait pratiquement justifié une hospitalisation. Mais que j’ai réussi à l’époque à récupérer avec l’acupuncture et avec les couleurs et ça a été son dernier œdème de Quincke !
Je pense aussi à un autre exemple : c’est une dame venait parce qu’elle avait des tics, elle bougeait la tête par secousse et par période dans la journée. Elle pouvait faire entre 10 et 15 séries de secousses : la tête partait de gauche à droite, elle n’arrivait pas à la retenir. Elle a commencé les séances de musique, et à partir de la troisième séance, elle bougeait la tête toute la journée. Toute la journée elle secouait la tête dans tous les sens. Ca a commencé à me faire un petit peu balisé parce que ça a duré comme ça jusqu’à la 19ème séance… et à la 19ème séance terminé! Elle est revenue, elle n’a plus fait une seule secousse.
Je l’ai revu deux ou trois ans après, elle m’a dit : » ca été terminé ! De temps en temps, je refais un petit coup comme ça, mais quand je suis contrarié «
Ca a été terminé.
Je pense aussi à une autre personne qui faisait des crises d’épilepsie. On a commencé le traitement. Elle nous a fait une bonne crise d’épilepsie dans le centre, ça a été même assez violent. Ca a été sa dernière crise d’épilepsie, à ma connaissance par ce que ça fait des années que je ne l’ai pas revu.
Je pense à un autre exemple d’une jeun fille étudiante qui était vraiment pas bien dans ses baskets. Vraiment pas bien.
Elle a commencé ce traitement parce que ça lui paraissait une idée intéressante. Sur le fauteuil où elle écoutait la musique, elle a vécu sa naissance. Et je suis arrivé vraiment pour la naissance, c’est à dire c’était comme un enfant qui naissait (elle avait une vingtaine d’année) avec déformation du visage, déformation des épaules, vraiment un bébé qui passe la matrice. Je suis arrivé pour la prendre dans mes bras.
Derrière ça elle a fait une réaction, un délire, où elle s’est retrouvée transportée à Amiens avant la guerre. Elle nous décrivait tout ce qu’il se passait avant la guerre. Qu’est ce qu’il s’est passé vraiment ça…
Ca a duré 15 jours. Je rassurais les parents en disant si ça se passe comme ça, c’est que ça doit se passer, car ce n’est qu’un travail en miroir finalement, on donne une information au corps qui correspond à ce qu’il nous a envoyé comme information. On n’a jamais eu réellement de problème. Et effectivement 15 jours après c’était terminé, elle a récupéré, elle est sortie de son délire, elle s’est retrouvée, elle a pu poursuivre ces études normalement.
Là, j’ai plein d’exemples qui me viennent à la tête…Je pense aussi à une fille qui était en 6ème, qui vient faire une cure au mois de Novembre, elle avait 8 de moyenne. Elle a raté une semaine d’école et à Noël, elle avait 10 ou 12 de moyenne. En un mois et demi de temps, elle avait basculé dans une dynamique positive pour sa scolarité ; Et j’ai revu le père, il n’y a pas très longtemps, puisque cette histoire était dans les débuts et depuis il est passé de l’eau sous les ponts, mais c’est des anecdotes dont je me souviens bien parce que ça m’a marqué, et le père l’a confirmé : c’était vraiment un déblocage.
Voilà quelques exemples.
Anthony Doux : C’est vrai que ça peut aussi jouer sur le lien social : ne pas entendre, du coup de la difficulté à comprendre, de la difficulté à être en lien…à apprendre…Ca joue sur plein de choses. Ca résout plein de choses.
Dominique Bourdin : Bien sur ça facilite la communication, puisque la communication est beaucoup liée à l’oreille. Tout à fait.
Alors la difficulté pour nous aujourd’hui par rapport à l’holosponie, c’est de repérer «qu’est ce qui fait quoi, parce que on met pratiquement toujours en synergie avec d’autres techniques :
Quand on voit ce que ça donne quand on fait ça tout seul !
Quand on voit ce que la chromothérapie fait déjà elle toute seule !
Alors quand on associe irrigation colonique, musique, couleur, rien que ça déjà, c’est un travail sur tous les plans de l’être !
Anthony Doux : Vous parliez tout à l’heure d’hologramme. C’est quoi ce concept d’hologramme?
Dominique Bourdin : L’holopsonie a cette caractéristique, c’est qu’elle démontre objectivement la notion de fonctionnement holographique du corps.
L’holographie c’est quoi ?
Pour moi, l’holographie c’est une base intéressante de compréhension de l’être humain, de ce que l’on fait sur cette planète.
C’est pour ça que je développe un petit peu cette idée là.
L’holographie, c’est une technique photographique qui consiste à prendre en photo un objet avec une lumière laser, une lumière qui a une très courte bande passante, qu’on utilise pour la chirurgie et dans des tas de domaines. Là, on l’utilise pour faire des photographies, avec un système optique qui s’appelle les fentes de Young. Quand on développe le cliché de la photo qu’on a prise, on ne va pas voir sur le cliché l’image de l’objet, on va voir des stries d’interférences lumineuses.
Mais si on projette le cliché dans les conditions de la prise de vue, on va retrouver une image de l’objet en relief, c’est la première caractéristique de l’holographie. On pourra traverser, aller voir derrière, c’est assez fascinant d’ailleurs, par ce qu’on prend la photo de devant, on peut faire le tour, on peut passer à travers.
La deuxième caractéristique qui nous intéresse ici particulièrement, c’est que si on prend un morceau du cliché, quelque soit l’endroit où on le prends, quelque soit la taille du cliché, si on le projette dans les conditions de la prise de vue, on va retrouver toujours une image de la totalité de l’objet.
Simplement on va changer de point de vue en fonction de l’endroit où on prend le morceau, et on va perdre en relief en fonction de la taille du morceau.
Donc ca veut dire que chaque partie du cliché contient des informations de la totalité et permet de restituer la totalité, d’un point de vue de la totalité.
Dire que le corps fonctionne comme un hologramme, c’est dire que chaque partie du corps contient des informations de la totalité et permet de donner accès à la totalité.
C’est ce que l’on fait avec l’oreille. Le petit bonhomme est dans l’oreille interne. Par de la musique modifiée, en fonction de la façon d’entendre, on va toucher à l’ensemble du corps. L’ensemble du corps sur toutes ses dimensions, c’est à dire physique, énergétique, émotionnel, mental et on va même toucher la notion de sens.
Ce que je n’ai pas développé tout à l’heure, c’est qu’en fait, souvent ça facilite les prises de conscience, ça fait remonter à la conscience des souvenirs, des événements qui ont été mal vécus. Après le rôle du thérapeute, ca va être d’aider les gens à transformer ça en quelque chose qui les fait grandir. Ca ne suffit pas de libérer les mémoires, ça ne suffit pas de faire les prises de conscience (c’est la faut à ci, à ça, si je vais pas bien…), il faut encore « transformer sa merde en compost », c’est une expression que j’aime bien utiliser parce que ça dit bien ce que ça veut dire ; C’est à dire permettre aux gens de transformer quelque chose qu’ils ont mal vécue, en quelque chose qui les font croitre, qui les font grandir.
L’holographie nous confirme qu’on fonctionne comme un hologramme (pour revenir à cette notion d’hologramme).
Ca veut dire que chaque partie du corps contient des informations de la totalité.
Ca va nous permettre de comprendre certaines techniques thérapeutiques, mais en plus, pour moi, ca nous permet de comprendre ce que l’on fait sur cette planète :
Parce que si c’est vrai pour un organe par rapport à l’ensemble du corps. C’est vrai pour une cellule, pour une molécule, on le retrouve avec l’ADN, c’est vrai dans l’infiniment petit probablement. Je ne vais pas trop le développer parce que c’est un peu compliqué à aborder, mais, c’est vrai aussi dans l’infiniment grand. C’est à dire que l’ensemble de notre corps lui même peut être l’hologramme d’une dimension qui est de l’autre côté du cerveau ; le cerveau devenant un filtre photographique, si on veut, puisque c’est lui qui construit le corps. Et on peut considérer qu’il nous met en contact avec un objet dont nous sommes l’image. L’image de quoi ? L’image de l’ensemble de l’univers, que l’on peut appeler Dieu si on reste dans une culture judéo-chrétienne, à ce moment là, nous sommes « à l’image de Dieu », que l’on peut appeler « Amour inconditionnel » parce que, que fait d’autre que d’aimer tout ce qui existe, il n’y a pas de jugement dans l’univers, tout Est, tout est juste.
A ce moment là, c’est intéressant parce que ça fait de nous, une image hologramique de l’univers ou une image de Dieu, et du coup nous avons la responsabilité de notre façon d’être cette image de Dieu sur la Terre. Et si je fais l’équivalence entre Dieu, Univers et Amour Inconditionnel, ça veut dire que notre tache sur cette terre c’est d’incarner de l’amour. Nous avons la responsabilité de notre façon de créer de l’amour sur cette terre. Et ça, ça donne sens à notre vie.
Là où on occulte un peu l’essentiel parce qu’on nous emprisonne un petit peu dans une société de consommation, une société de l’avoir : pour avoir, il faut faire pleins de choses…
Cette notion d’hologramme de l’univers nous permet de penser plus une dimension d’être ; et tout notre cheminement sur la terre, finalement c’est d’aller vers ça.
Devant n’importe quelle situation, quand je dis « transformer sa merde en compost », la seule question importante à se poser c’est : « En quoi dans cette situation là, aujourd’hui, je suis plus créateur d’amour pour moi et pour les autres ? » C’est à dire plus de respect, dans une dynamique d’être pour moi et pour les autres.
Anthony Doux : plus que dans une dynamique d’avoir et de faire. Etre, puis faire, puis avoir.
Dominique Bourdin : Du coup, tout le sens de nos thérapies va vers ça. Et ce qui est tout à fait intéressant, c’est que, même si on ne dit pas, on ne fait de prosélytisme ici, on accompagne les gens avec les tests, on les accompagne en fonction de là où ils en sont ; les témoignages vont presque toujours signifier qu’ils ont, retrouvé, découvert ou redécouvert quelque chose de l’ordre de l’amour. Et ça, j’ai trouvé ça assez fascinant parce que finalement on leur nettoie la tête, on leur nettoie le ventre, on leur nettoie la structure vibratoire, on les aide à se régénérer et puis finalement ils disent : « j’ai envi d’aimer, j’ai envi de créer de l’amour. »
Anthony Doux : On revient à quelque chose de complètement naturel.
Dominique Bourdin : Complètement, c’est vraiment le sens de l’existence.
La générosité de la planète que l’on passe beaucoup de temps à massacrer est extra-ordinaire. La nature Est, la nature est généreuse. Elle est dans un amour inconditionnel.
On a des choses à apprendre…
Anthony Doux : On va s’arrêter sur ce mot là, « être amour », » redevenir amour », avoir cette responsabilité là. Merci beaucoup Dominique.
Voilà, c’était l’interview de Dominique Bourdin au sujet de l’holopsonie…et de l’amour…
Voici quelques photos du centre La Chrysalide, en Vendée,
créé par Dominique et Sylvie Bourdin :
Test auditif des fréquences
Bain avec luminothérapie
Centre « la Chrysalide »
Que pensez vous de l’holopsonie, avez vous essayé?
Merci de partager vos commentaires 🙂
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